« Je suis convaincue aujourd’hui, pour l’avoir expérimenté en tant que patiente et en tant que thérapeute, que ce n’est que dans le lien à un ou plusieurs autres que l’on guérit profondément des souffrances passées. »
Je propose des thérapies individuelles, des groupes thérapeutiques et des stages de développement personnel sur différentes thématiques.
Plus j’acquière de l’expérience et plus je me rends compte des limites des thérapies purement verbales. En effet, elles présentent comme grand inconvénient de nourrir le mental qui est déjà largement prédominant dans notre société, où nous avons de plus clivé le corps et l’esprit. Je constate, au contraire, la plus grande efficacité des techniques qui font appel aux sensations corporelles et permettent d’accepter toutes les facettes de soi et libérer les émotions difficiles enfouies. Il est d’ailleurs reconnu scientifiquement, qu’en cas de traumatisme, les thérapies classiques où l’on on fait raconter en détail et même répéter parfois peuvent même renforcer l’inscription cérébrale du souvenir douloureux.
Les groupes, où chacun profite de la dynamique et de l’énergie de tous, sont d’une efficacité indéniable pour transformer les scénarios familiaux d’échec et de souffrance ; scénarios qui se transmettent parfois depuis de nombreuses générations et dont les racines se trouvent la plupart du temps dans les grands drames collectifs, la violence collective et individuelle (abus sexuels, guerres, génocides, esclavage, exils subis, etc.). Du fait de mon histoire personnelle, je me suis particulièrement intéressée à cette question de la transmission transgénérationnelle inconsciente des traumatismes et l’impact des drames collectifs sur les individus et la façon d’en guérir.
Je suis ouverte à ce qui se passe ailleurs. Je pense que nous avons à prendre et à apprendre des formes de guérison traditionnelle, des médecines hollistiques et millénaires (médecine ayurvédique, chinoise, chamanisme) qui ne découpent pas le corps et les personnes en morceaux mais les considèrent dans leur globalité (corps-coeur-esprit) et en lien avec leur environnement et une forme de spiritualité. Dans notre société nous sommes en train d’ailleurs d’évoluer vers des formes de médecine plus systémique et préventive qui prennent en compte l’individu dans sa globalité. Je souhaite apporter ma contribution dans ce domaine.
Je suis convaincue aujourd’hui, pour l’avoir expérimenté en tant que patiente et en tant que thérapeute, que ce n’est que dans le lien d’amour à un ou plusieurs autres que l’on guérit profondément des souffrances passées. Et cela permet de retrouver l’amour de soi-même, qui est la priorité. En effet, on ne peut aimer l’autre qu’à partir de l’amour de soi.
Quelques spécialités
Thérapeute du lien, généraliste de la relation, j’ai aussi développé quelques spécialités au fil de mes rencontres, expériences et formations.
Une de ces spécialités est la guérison des traumatismes. J’utilise différentes techniques, dont l’hypnose, la PNL. Les causes des traumatismes peuvent être variées. Il peut s’agir d’un événement unique, de multiples traumatismes ou de traumatisme chronique. J’y intègre la dimension transgénérationnelle, lorsque c’est nécessaire : par exemple pour les descendants (3ème génération) des personnes ayant vécu des grands drames collectifs (guerres, génocides) ou de malheurs familiaux dont ils sont porteurs inconsciemment. La mémoire traumatique conserve des traces des événements passés qui ne passent donc pas et sont réactivées régulièrement sans que les personnes fassent nécessairement le lien avec les événements passés. Il s’agit de retourner brièvement dans les ressentis lors de ces événements et surtout les sensations corporelles enkystées dans le corps pour les transformer.
La dépression est la première cause de consultation en psychothérapie. Ce n’est pas une fatalité. Là aussi il s’agit de retrouver les causes profondes dans l’enfance et voir comment le problème reste vivant aujourd’hui dans notre inconscient et transformer ce vécu grâce aux nouvelles techniques que j’utilise (hypnose, mélange d’EFT et de PNL, constellation familiale…). La plupart du temps, la dépression correspond à des émotions de tristesse et de colère qui n’ont pas pu être accueillies et qui sont retournées contre nous. J’ai appris une différence fondamentale entre les émotions saines qui permettent de « faire les deuils » (protestation, chagrin, peur) et la souffrance qui fait juste tourner en rond dans le mal être (colère /violence, tristesse dépressive et angoisse) ou encore plus fort (rage, désespoir, terreur).
J’ai travaillé dans plusieurs institutions, dans les univers de la périnatalité et du jeune enfant (maternité, crèches, relais assistantes maternelle, centre d’orthogénie). Je suis aussi intervenue comme formatrice en maternité et en supervision, analyse des pratiques en crèche, LAEP. Cette connaissance du bébé et des interactions précoces est précieuse, même pour accompagner les adultes, étant donné qu’il s’agit toujours de reprendre les étapes de développement qui se sont mal passées, et en particulier de récupérer sa sécurité de base. Je reçois en libéral des femmes enceintes, des mères avec leur bébé, des (jeunes) enfants, des parents qui se sentent en difficulté dans l’éducation de leur enfant. J’apprécie aussi d’accompagner les adolescents.
Comment je travaille
Je propose des thérapies individuelles, des groupes thérapeutiques et des stages de développement personnel sur différentes thématiques.
Plus j’acquière de l’expérience et plus je me rends compte des limites des thérapies purement verbales. En effet, elles présentent comme grand inconvénient de nourrir le mental qui est déjà largement prédominant dans notre société, où nous avons de plus clivé le corps et l’esprit. Je constate, au contraire, la plus grande efficacité des techniques qui font appel aux sensations corporelles et permettent d’accepter toutes les facettes de soi et libérer les émotions difficiles enfouies. Il est d’ailleurs reconnu scientifiquement, qu’en cas de traumatisme, les thérapies classiques où l’on on fait raconter en détail et même répéter parfois peuvent même renforcer l’inscription cérébrale du souvenir douloureux.
Les groupes, où chacun profite de la dynamique et de l’énergie de tous, sont d’une efficacité indéniable pour transformer les scénarios familiaux d’échec et de souffrance ; scénarios qui se transmettent parfois depuis de nombreuses générations et dont les racines se trouvent la plupart du temps dans les grands drames collectifs, la violence collective et individuelle (abus sexuels, guerres, génocides, esclavage, exils subis, etc.). Du fait de mon histoire personnelle, je me suis particulièrement intéressée à cette question de la transmission transgénérationnelle inconsciente des traumatismes et l’impact des drames collectifs sur les individus et la façon d’en guérir.
Je suis ouverte à ce qui se passe ailleurs. Je pense que nous avons à prendre et à apprendre des formes de guérison traditionnelle, des médecines hollistiques et millénaires (médecine ayurvédique, chinoise, chamanisme) qui ne découpent pas le corps et les personnes en morceaux mais les considèrent dans leur globalité (corps-coeur-esprit) et en lien avec leur environnement et une forme de spiritualité. Dans notre société nous sommes en train d’ailleurs d’évoluer vers des formes de médecine plus systémique et préventive qui prennent en compte l’individu dans sa globalité. Je souhaite apporter ma contribution dans ce domaine.
Je suis convaincue aujourd’hui, pour l’avoir expérimenté en tant que patiente et en tant que thérapeute, que ce n’est que dans le lien d’amour à un ou plusieurs autres que l’on guérit profondément des souffrances passées. Et cela permet de retrouver l’amour de soi-même, qui est la priorité. En effet, on ne peut aimer l’autre qu’à partir de l’amour de soi.
Quelques spécialités
Thérapeute du lien, généraliste de la relation, j’ai aussi développé quelques spécialités au fil de mes rencontres, expériences et formations.
Une de ces spécialités est la guérison des traumatismes. J’utilise différentes techniques, dont l’hypnose, la PNL. Les causes des traumatismes peuvent être variées. Il peut s’agir d’un événement unique, de multiples traumatismes ou de traumatisme chronique. J’y intègre la dimension transgénérationnelle, lorsque c’est nécessaire : par exemple pour les descendants (3ème génération) des personnes ayant vécu des grands drames collectifs (guerres, génocides) ou de malheurs familiaux dont ils sont porteurs inconsciemment. La mémoire traumatique conserve des traces des événements passés qui ne passent donc pas et sont réactivées régulièrement sans que les personnes fassent nécessairement le lien avec les événements passés. Il s’agit de retourner brièvement dans les ressentis lors de ces événements et surtout les sensations corporelles enkystées dans le corps pour les transformer.
La dépression est la première cause de consultation en psychothérapie. Ce n’est pas une fatalité. Là aussi il s’agit de retrouver les causes profondes dans l’enfance et voir comment le problème reste vivant aujourd’hui dans notre inconscient et transformer ce vécu grâce aux nouvelles techniques que j’utilise (hypnose, mélange d’EFT et de PNL, constellation familiale…). La plupart du temps, la dépression correspond à des émotions de tristesse et de colère qui n’ont pas pu être accueillies et qui sont retournées contre nous. J’ai appris une différence fondamentale entre les émotions saines qui permettent de « faire les deuils » (protestation, chagrin, peur) et la souffrance qui fait juste tourner en rond dans le mal être (colère /violence, tristesse dépressive et angoisse) ou encore plus fort (rage, désespoir, terreur).
J’ai travaillé dans plusieurs institutions, dans les univers de la périnatalité et du jeune enfant (maternité, crèches, relais assistantes maternelle, centre d’orthogénie). Je suis aussi intervenue comme formatrice en maternité et en supervision, analyse des pratiques en crèche, LAEP. Cette connaissance du bébé et des interactions précoces est précieuse, même pour accompagner les adultes, étant donné qu’il s’agit toujours de reprendre les étapes de développement qui se sont mal passées, et en particulier de récupérer sa sécurité de base. Je reçois en libéral des femmes enceintes, des mères avec leur bébé, des (jeunes) enfants, des parents qui se sentent en difficulté dans l’éducation de leur enfant.
J’apprécie aussi d’accompagner les adolescents.